sábado, 15 de diciembre de 2007

Una llamada, un mensaje y una historia que contar

Enrique Catalán Salgado
Una llamada, un mensaje y una historia que contar

¿Qué hay en dos corazones que se buscan como el tuyo y el mío?, ¿Qué encierra una llamada que no quiere terminar? Es amor, amor sincero que crece y no termina, amor que nos une para toda la eternidad.


Así decía aquel mensaje de celular que él le había enviado a ella aquella noche, un mensaje que el alma le había dictado tras aquella llamada telefónica, llamada en que los cordones de cobre parecían no solo transmitir las voces de dos inocentes amantes, sino también las ilusiones, los sueños y el cariño que se daban mutuamente en cada palabra, y que los hacían sentir tan cercano uno del otro que sus corazones podían tocarse aun cuando estuviesen distantes.

¿Qué encierra una llamada que no quiere terminar? ¡encierra tanto!, todo ese cariño que quieren darse, la intención de verse y sentirse cerca y ante la barrera de la distancia sentir al menos la tierna caricia de sus voces penetrando dulcemente hasta el ultimo rincón de sus adentros. La voz, esa voz que en los matices exalta un sentimiento de emoción y de ternura, de afecto, de entrega, esa voz, que tan bella como poderosa, arranca una sonrisa y de repente nos derrite en un susurrante “te quiero”.

El la ama, y ella lo ama a él, y a veces cuando él la busca ella se deja encontrar, y a veces ella cambia hábilmente los papeles y él de repente es el buscado y finge esconderse donde ella pueda encontrarlo, porque al final los dos quieren encontrarse y no separarse nunca más y cambiar el juego y jugando al pirata y el tesoro poder decir: Te he encontrado y eres mio, y guardarse mutuamente en ese cofre precioso llamado corazón.

¿Qué hay en dos corazones que se buscan como el tuyo y el mío? El le preguntó a ella y ella no le respondió, pero los dos sabían la respuesta aun cuando no la dijeron, ella se respondió a si misma sin decir una palabra, él… él preguntó con la respuesta en el alma, porque era una pregunta que gritaba “te quiero, te quiero como nunca he querido a nadie” y eso era lo que él pretendía decir fingiendo que no lo decía, pero ella sabía que él quería decir aquello sin parecer evidente, y él de antemano sabía que ella conocía sus intensiones y se daría cuenta, y al final los dos habían quedado satisfechos: el le había dicho que la amaba, y ella se sentía contenta con ese amor.

Y al final el sentimiento causante de todo, ese amor puro y sincero que crece y no termina, ese pícaro entre ellos que los junta cada día y que al estar al teléfono les impide colgar, ese bribón tremendo que cuando ella dice “nos vemos” va y le sostiene la mano haciéndola suspirar, y luego viaja por la línea y hace que el otro diga “te quiero” y la platica no acaba porque vuelve a comenzar, y así, con él entre ambos, abundan mucho las despedidas pero ninguno se va, porque el amor los une, porque se quieren, porque es tanto el cariño entre ellos que durará una eternidad.

El por las mañanas solamente en ella piensa, y en ella piensa en la tarde y en la noche la piensa más, y ella responde con una sonrisa porque recibe un mensaje, y al llegar ese mensaje la historia vuelve a empezar.

espero y les agrade...a mi me gusto mucho...

A l´envers sous les tombes

estando yo googleando[como diario]... me halle este pequeño cuento de ciencia ficcion en frances... espero les guste

Il fallait ignorer ce fourmillement dans le dos. Plus précisément, juste sous la peau du cou, à mi-chemin vers la nuque. Quelques secondes plus tard, on n’y penserait plus, mais pour l’heure la pensée se devait d’être vierge de toute intrusion resquilleuse. La terre, sous les grands pieds, remua d’un coups. Un tout petit coup qui aurait pu tout remettre en question. Mais moi, être Homoes, j’avais attendu dix ans pour cela. Juste quelques tierces instants dans l’éternité faite démence. Quelques instants de lucidité, une chance d’échapper aux tombes pour arpenter les allées, comme ceux qui sont restés, comment les surnomment-on encore ? Humains.


Ce vers sous ma peau, en extase dans mon épiderme sec et défaillant, y allait allègrement, maintenant qu’il en venait à bout. Il avait bien raison de jubiler car, après cette barrière, tout n’était que liquide, vases et prétentions d’outre-tombes. Dès qu’il s’y baignerait, il aurait exactement trente minutes pour se multiplier et me conquérir. Je disposais également du même temps, moins une minute, pour l’en extirper.


La pensée. Vierge, pure mais sauvage. Je m’installais mieux sur la partie ronde du crâne du fossile et attendit que dans mon ventre le signal se fit encore entendre. Il ne tarda pas. La main en attente entre mes cuisses, à l’entrée du grand orifice, c’est spontanément que mon bras s’y engouffra. J’en extirpai cette reproduction morbide et, avant d’entendre le premier soupir, lui retirais la tête. Avec la même dextérité que j’avais eu à retirer cet être de mon ventre, la petite tête fut mise dans celle du fossile sur laquelle j’étais assise. La refermant, je me rassis aussitôt, feignant de ne pas entendre gémissements, tremblements furtifs sous mes fesses.


Il fallait garder la pensée forte. La véritable pensée m’habita enfin tandis que je me retirais les restes de viscères du ventre que j’enroulais sans voir autour du corps sans tête de la petite créature. La pensée. De tout ce que je pu, j’invoquai la Puissance :


« Mbiri-kou, Mbiri-kinda, me voici en extase
Mbari-ni, Mbari-kou, en phase d’y monter
Je renonce, je t’honore et te rend grâce
Les morts nourrissent La Mort
Et cette humanité se mérite
Prend ma tête, admire ce corps
A la surface, je saurais rester dehors
L’ombre ne vit pas dans la lumière
Retire-moi des ombres, des tombes. »


Le dessous de mes fesses se calma. Quelques secondes. Toujours rien. La deuxième étape était franchie avec succès. Debout sur mes membres inférieurs flasques, le corps inerte et sanglant dans ma très grande main droite, je fis les trois pas rituels à partir du squelette. Ils me conduisirent sous une fine lumière qui venait du dessus de nos têtes. Du béton à la place du ciel. Des os en synonyme de nuages. Et de la poussière comme verdure. Oui. Dans ce monde-ci, c’était déjà beau. Dans les résidences plus éloignées, on disputait les os, à cause de la moelle. Cette force en plus.


Il faut que je vous dise. C’est ce qui se raconte. Il y a plus de mille cinq cent ans, croyant saisir la dernière touche de la technologie, ils avaient violé la magie des mondes. Les forêts broyées, les planètes envahies par les hommes et déchets chimiques, les gênes sélectionnés et malmenés, on dit que l’humanité a troqué la raison contre la démence.


C’était il y a plus de mille cinq cent ans. Ils ont quand même nettoyé la terre, de ce qui faisait des gens comme moi, avec 75% de gênes modifiés, un peu plus des trois quarts des personnes qui vivaient sur cette planète. Ne se sachant pas pistés, codifiés et répertoriés, ils s’étaient rués sur la dernière trouvaille du progrès : Des pays souterrains pour échapper à l’obsolescence de la surface. Ne riez pas. Les plus pauvres s’endettèrent pour y aller. Les très riches étaient beaucoup mieux informés et soignés.


Très vite, il fallu cohabiter avec les tombes. Tout juste en dessous. Certains en dedans, par manque de place. La magie des mondes avait été violée. Mille ans plus tard, magie et technologie cohabitaient et se soutenaient. C’est pourquoi, plus que jamais, dans ces tombes, nous, survivants, étions plus morts que ces fossiles. Mais nous sommes morts tout de même, avec presque pas d’os dans le corps. Toute notre force repose sur nos bras, notre tête. On a cherché à faire de nous des êtres évolués.


Je veux être cet être évolué. Ils savent que nés dans ces souterrains, dans les bras de ces défunts vivants, un flux précieux de connaissance nous habitent. Alors pour remonter, il fallait tout soustraire. Etre à la hauteur des sacrifices futurs.


Le frémissement doux et dangereux de la terre meuble sous mes pieds me rappela que, cette fois, la sentinelle approchait. Elle m’avait entendu. Elle savait donc que j’étais capable de la faire venir. J’avais le flux précieux. Là-haut, tout est propre et protégé, grâce à la sphère précieuse, mélange de technologie et de rîtes magiques et sorciers des peuples aujourd’hui disparut. Mais cette technologie n’était rien sans flux. Notre flux. J’étais le numéro deux millions trois. La queue fut longue. Alors, je n’allais rien gâcher. De mes yeux globuleux et à demi révulsés, je fixais ceux de cette femme gigantesque avec quelque chose d’exceptionnel sur sa tête. De long fils, raides et très frisés à la fois étaient plantés sur son crâne. Nos ancêtres pauvres, paraît-il, en possédaient. Mon crâne et celui de mes congénères étaient complètement nu. Je ne savais pas ce que c’était que d’avoir des cheveux.


Les yeux clairs me happèrent, soulevèrent ma peau rude, sèche. En lévitation, je fut enfin à la hauteur de la dame. Cette femme, si grande qu’elle en effleurait les frontières. A mes pieds bien plus loin, une écervelée se faisait crucifier, à l’envers sous sa propre tombe. Elle n’a pas pu décapiter l’enfant, pour le soumettre au test, voir si son flux était puissamment compatible. Non, elle n’a pas su vaincre cette part de femme et de faiblesse durant tout ce temps, cette décennie qui nous était accordée, comme offerte pour que l’on se décide un jour où l’autre, à remonter, constituer le bouclier de cette terre jamais vu que de l’intérieur. Et la voilà, tenant à bout de bras un rejeton qui périra quand même, sous cette terre, parce que dans un instant, plus en dessous, cette créature récalcitrante, ira rejoindre la horde des Sgnaf. Les pieds soudés à cette terre qui était notre plancher, elle se videra, la tête en bas, de son flux non évalué, pour le plaisir des reptiles de jade. Du tréfonds de l’envers de l’abîme, tous nous l’entendirent pleurer, misérable créature qui avait préféré vaincre le masculin en elle :


« Mbiri-kou, Mbiri-kinda, mon seul aïeul
Mbiri-kou, Mbiri-kinda, était-ce toi Lucifer?
Mbari-biè, Mbari-biadang, où est la Faute ?
Ce peu de chair dans trop de sang, c’est à moi
Rien qu’une cellule, un être à test, il est à moi
Mon enfant, ce manque de chance, où est la faute ?
Mbiri-kou, Mbiri-kinda, a qui le tort ?
Dieu s’est sauvé, nous a renié, à qui le tour ?
Etait-ce cela notre vie véritable ? Servir la Puissance ?
Mbari-biè, Mbari-biawou, Mbari-biè, Mbiri-biawou !!!! »


Les cris, les larmes dans le hurlement de cette faible créature s’évanouirent dans d’autres profondeurs, dans l’envers d’innombrables enfers. Comme un signal d’alarme, je reniflait ce vers qui s’enflait dans ma tête et le recrachait de ma narine. Son dessèchement sur la terre meuble me combla d’aise. Un sentiment agréable qui provoqua la contraction du peu de muscle que j’avais. La sentinelle regardait mon érection presque avec fierté. Je déposais le tout jeune corps décapité dans son bocal fluorescent. Femme et homme, j’avais vaincu l’appréhension, cette faiblesse maligne et sans issue.


Accroupis, une marche en dessous de celle de la sentinelle dans cet ascenseur longiligne, je ne quittais pas des yeux les kilomètres de terre et de pierres auxquels je disais adieu. Gris et très sombre à la fois, les parois du tunnel vertical, millimètre par millimètre me procuraient un soulagement que ne pouvait ressentir que quelqu’un qui espérait mourir. En prenant la mort comme un nouveau départ.


Enfin, je le vis. Ce vieux monde dont mes ancêtres avaient été bannis par la ruse. En l’an 4000, je pouvais enfin fouler les abords de cette terre qui m’était étrangère. Je fus enfermé dans une bulle bleu et vert alimentée par mes semblables, reliée par des sièges sophistiqués à partir desquels notre précieux flux était aspiré et perfectionné, avant d’être diffusé à l’intérieur de la sphère. L’intérieur de la sphère. Les hommes, et les femmes qui y vivaient appartenaient exclusivement à un sexe. Mais ils étaient tout vieux. Les cheveux bien blanchis mais le corps encore alerte. Un peu trop alerte. Mais ces gens étaient différents, différents des miens sous terre. Ils marchaient bien debout, mais ils étaient trop grand, et très âgés. Il n’y avait aucun enfant humain à leur côté. Ils adoraient leurs bêtes. Aucun enfant. Bien-sûr, il y en avait. Enfin, les nouveau-nés existaient de moins en moins. Les quelques-uns qui pouvaient naître de ces vieilles personnes ne l’étaient qu’à des fins thérapeutiques. Entretenir la croissance d’une nouvelle génération avait causé par le passé plus de problème et d’ingratitude que la prospérité qu’une sagesse erronée avait prôné.


Alors, quand du flux manquait pour leur confort et pour la survit de la planète, on descendait plus de six pieds sous terre, se ravitailler. Les tests génétiques se faisait sur place, d’où ils étaient, ils étaient au courant de tout. Je m’installais donc dans mon siège, une place creuse pour mes jambes sans os. Créature à demi rampante, j’étais plus à l’aise sur ce siège glacé que sur mon fossile. La quantité qu’on absorbait de mon précieux liquide m’importait peu. Mes yeux ne se lassaient pas de contempler cette surface terrestre mainte fois imaginée. Elle était presque aussi déserte que nos tombes. Sans végétation véritable, mais énormément de bêtes tenues en laisse par leur maître, de toute taille. Cette terre était un tombeau ouvert hissé vers le haut.


Dans un siège voisin, on retirait un vieil Homoes. Cela faisait cinquante ans qu’il participait à l’alimentation de la sphère de protection de la terre. Un sourire béat était inscrit sur son visage, ses yeux agrippés à la vue de cette surface de la terre qu’il n’avait pas pu visiter. Il savait qu’on le ramenait sous terre, à l’envers sous les tombes. Etre sans flux mais toujours plein de puissance, sa tête, futur crâne fossile, servira de redoutable test de gênes de futurs nouveau-nés, décapités. Grâce à ces cellules fraîches, cette terre continuera d’exister, et lui aussi vieux Homoes, ne mourrait pas.

Et on ne mourrait presque pas sur la surface de cette planète, sauf par décapitation. Et personne, à la surface de cette terre, ne voulait la demander.

jueves, 13 de diciembre de 2007

TOMA MI MANO

TOMA MI MANO [2:38]

toma mi mano
ya todo estara bien
no debes llorar

se que es dificil
pero yo estare aqui
no te sientas solo

Si todo esta mal
y no puedes mas
puedes buscarme

Coro:
Se que tu en mi lugar
lo harias tambien
sin pensarlo
Se que duele caer
y hoy estoy aqui para ti
como ayer
como hoy
sabes que puedes buscarme

Se lo que sientes
y aunque paresca asi
no es el final

esto no es facil
pero yo estare aqui
no te sientas solo

coro

Prendre ma main
Et tout ira bien
Vous ne devez pas pleurer

Il est difficile
Mais je serai là
Se sentent pas seuls

Si tout est faux
Et vous ne pouvez plus
Vous pouvez me trouver

CHORUS:
Êtes-vous à ma place
Elle permettrait également
Sans réfléchir
Il fait mal à tomber
Et aujourd'hui, je suis ici pour vous
Comme hier
Comme aujourd'hui
Vous savez que vous pouvez me trouver

Nous estimons que
Et bien que bien voir
Ce n'est pas la fin

Ce n'est pas facile
Mais je serai là
Se sentent pas seuls

Chorus

Take my hand
And all will be well
You must not mourn

It is difficult
But I will be here
Not feel alone

If everything is wrong
And you can not over
You can find me

CHORUS:
Are you in my place
It would also
Without thinking
It hurts to fall
And today I am here for you
As yesterday
Like today
You know that you can find me

We feel that
And although see well
It is not the end

This is not easy
But I will be here
Not feel alone

Chorus

EL MANZANO... DE KARL WIENER

Karl Wiener
El manzano

Cada deseo, inmediamente después de su realización, provoca deseos nuevos. Según la leyenda también Adamo y Eva eran echados del Paraíso a causa de sus deseos inconvenientes. Una cosa semejante habría sucedido casi a nuestro amigo.
Ocurría a un día soleado debajo de un cielo azul. Una brisa ligera empujaba nubes blancas a cielo través. Un riachuelo serpenteaba por los prados. Sobre una colina cerca del riachuelo estaba un gran manzano. Su corteza agrietada contaba de su edad y su copa amplia guardaba de los rayos del sol. Allí, en la sombra del manzano, Enrique estaba extendido a su espalda, los brazos cruzado debajo de su cabeza. Miraba hacia arriba a las hojas, cansado del juego al riachuelo y perdido en sus sueños. La luz del sol resplandecía a través del follaje y hacía cosquillas en su nariz. Muchas manzanas, todavía no madura, brillaban fuera de las hojas y prometían una cosecha abundante. Enrique intentaba in vano de contarlas. Eran mucho más que sus diez dedos. El calor le había hecho sed a él. Se levantó y se alzó en las puntas de sus pies para agitar las ramas. Una manzana cayó. La recogió y arrancó un bocado de su presa. Pero que desengaño, la manzana estaba podrida y lleno de gusanos.
El viejo manzano había observado a Enrique. Una brisa agitó sus hojas y el niño le oyó susurrar: “Cada cosa de la vida tiene su tiempo justo”. - Enrique se admiraba. Nunca antes había oído un manzano hablando. Guardaba silencio para escuchar cada palabra y el manzano continuó: ”Las frutas maduras anticipadas muchas veces están carcomidas y podridas. Pon atención de tus sueños, llegado a la meta de sus ansias el hombre a veces esta desengañado.” - El manzano se calló. Enrique estaba dormido.Una luz rocácea penetró sus párpados cerrados. De esta luz salió una bruja bondadosa. “Enrique”, la hada susurró, “te concedo tres deseos que van a cumplirse. Pero no te tomes la decisión a la ligera. La tentación es grande y podría ocurrir que los deseos concedos son gastados cuando menos se piensa”. Después de haber dicho estas palabras la bruja se ausentó.
Enrique pensaba sobre lo que había oído. Ya desde hace mucho tiempo se disgustaba con su hermano, más viejo y ya escolar, que le trataba de nene. Para hacer más impresión, Enrique deseó de ser también escolar. Como prometido el deseo se realizó en seguida y el niño estaba sentado en la clase, sudando de excitación. Fuera, al aire libre, hacía sol. Enrique soñaba de los prados verdes y la sombra del manzano. Ensimismado en sus pensiamentos apoyaba su cabeza en sus manos. Aún disponía de dos deseos. La vida de su maestro le parecía envidiable. Este era siempre de buen humor y, según parece, sabía todas las cosas que un hombre debe saber. Por eso Enrique deseó, que los años de escuela sean pasados y él en lugar de su maestro enseñe a los niños. También ese deseo se cumplió inmediatamente. Ahora él debía enseñar a los niños a escribir y leer. Pero qué susto, él mismo no sabía las cosas que los escolares, deseosos de aprender, estaban exigiendo. Pensaba con anhelo en su abuelo, que parecía de estar muy contento de su vida y sabía contar muchos cuentos divertidos. Enrique quería estar como el abuelo. Apenas pensado, el deseo fue realidad. Enrique estaba sentado en el banco delante de la casa, pestañeando a la luz del sol. Sentía la benignidad del calor en sus miembros viejos. Cuando se levantó pero, debía apoyarse en su bastón. Avanzarse le costaba mucho. Buscó en su cabeza un cuento interesante. Pero allí no estaba nada. Los cuentos del abuelo habían madurado durante muchos años de observación de la vida.
Enrique estaba triste. Se recordó de las palabras del manzano:” Cada cosa de la vida tiene su momento justo”. No camino cunducía hacia atrás a los días felizes de su infancia, porque había usado de todos sus tres deseos. Como sucede pero en los cuentos, la bruja tocó con su varita mágica a él. Enrique se despertó de su sueño y se frotó sus ojos. Sensato de experienca se propuso de contener sus deseos hasta el tiempo justo habrá venido.

La rana non è un usignolo... cuento en italiano

zas seguimos me dio por ponerle cosillas al blog... como se que le encantaria seguir estudiando mas lenguas a mi new amiguis wyllow poes que me traigo este cuento espero y te guste princesa...

Karl Wiener
La rana non è un usignolo

Qualcuno comincia a cantare
e pensa di armonizzare.

Questo è l’inizio di una canzone. Quei, che conoscono la canzone, sanno anche la fine della favola succedente:

Non arriva un suono unico al luogo deserto, dove il viandante nella bosco fitto incontra all’improvviso uno stagno nascosto. Canne palustre fiancheggiano le sue rive. I rami dei alberi vicino all’acqua toccano il fior dello stagno e i raggi del sole penetranti per il fogliame, dipingono delle macchie dorate sul muschio. Talvolta il silenzio è interrotto d’un pesce che salta fuori dell’acqua. Il suolo paludoso è un posto ideale per covare delle zanzare che sono preda benvenuto per le rane e gli uccelli. Per questo di giorno il bosco risuona delle canzoni degli uccelli e al tramonto del sole le rane iniziano con alta voce il loro concerto.
Un giorno, verso mezzanotte, quando il chiaro di luna si rifletteva nell’acqua, a questo luogo avvenne il caso, di che vorrei raccontare. Un usignolo aprì le sue ali, si alzò e volò su verso un ramo d’un albero vicino allo stagno. Per attirare la sua amante intonò con nostalgia una canzone che commuoveva i cuori. Tutti gli animali della foresta ammutolirono e ascoltavano la voce meravigliosa. Soltanto una rana giù nella melma credeva di sapere cantare ugualmente bene come l’uccello e si accinse immediatamente a dimostrare la sua arte. Si arrampicò tormentosamente da una rama all’otre e arrivò senza fiato al posto dove l’uccello cantava la sua canzone. Dopo una pausa per riprendere fiato, quando l’uccello aveva ammutolito per un istante, la rana fece risuonare la sua voce, ma gracidò orribilmente invece di cantare. Il usignolo si spaventò del disaccordo tanto che quasi sarebbe caduto dalla rama dove stava seduto. Riuscì però a mala pena a mantenere l’equilibrio, volò sulla cima la più alta dell’albero e continuava di cantare.
La rana non abbandonò. Saltò nell’inseguimento dell’uccello si del ramo. Invece di alzarsi però, la sua caduta, non si può dire d’un volo, terminò giù nell’acqua, benché la rana remasse colle sue zampe come l’uccello aveva fatto prima con le sue ali. Non sarebbe sopravvissuto, se avesse battuto su una pietra, fortunatamente però batté con un tonfo sull’acqua. Allora, a causa dell’urto la rana si sentiva stordita e soffriva di mal di pancia. Per un istante si comportava immobile, ascoltava suo cuore e credeva d’essere morta. Dopo era convinta d’essere vivente però, nuotò in fretta tra le foglie d’una ninfea. Da questo giorno la rana rimaneva nel suo elemento. Nessuno sapeva nuotare e tuffarsi come lei, ma non si cimentava mai in cantare oppure volare come un uccello.

FRACTALE ATTRACTION

otro mas en la lengua francesa....

FRACTALE ATTRACTION


Devant l’écran aurifère et extatique

Des éclats de couleur ornent mon horizon chimérique

En une multitude de tons psychédéliques

Kaléidoscope nuancé de paradis et d’émotion inique

Subliminales pensées mise à l’index

Devant le rythme des nuances abstraites

Peu à peu des ombres se dessinent, secrètes

Et la clarté s’illumine, divine et connexe

Devant tant de beauté, je m’explique

Esthète devant le ciel de mon logiciel

L’éternel désir du beau et du vrai

Taraude la vue de mes pensées

Subjective attirance d’un panthéon coloré

Où se dressent quelques éphèbes vénérés

Les dieux de l’illusion et quelques amphitryons

Dressent et subliment la fractale attraction de mes inventions.

Donde esta ????

Dónde está........?
Me pregunté dónde estaría
El tesoro precioso
Del que hablan los seres
Desde el principio de los tiempos

Lo busqué en el cielo
Porque estaba segura
Que allí
Debería encontrarlo
Pero nada encontré
Salvo nubes blancas
Que disimulaban ser
Castillos y grandes imperios

Lo busqué en la tierra
Que se adentraba
Encontré oscuridad y silencio
Galerías profundas y
Cavernas impresionantes
Dónde brillaban
Piedras preciosas como estrellas
Pero cuando los toqué
Sentí su frialdad
Y me provocó un escalofrío

Lo busqué en el mar
Donde encontré reinos sumidos
Llenos de joyas
Perlas cuyo blanco brillo
Me deslumbraba y me dejaba ciega
Y ni siquiera pude ver
Los corales rojos
Que lloraban su sangre
Por la pena de mi alma

Me arrojé al fuego
Porque me dijeron
Que allí se puede
Encontrar el tesoro
Pero el fuego me quemaba
El corazón, el alma
Y el Ser
Me dejaba sin deseos
Ni pena
Y ya consideré
Como leyenda inventada
Por la humanidad
Lo del tesoro

Hasta que un día
Al alba
Lo encontré
Sin darme cuenta
De que se trataba
No brillaba ni era precioso
Y casi lo hubiera dejado
Hasta que encontré que era capaz
De recusitar mi corazón
Mi alma y mi Ser
Allí entonces
Pude reconocer el tesoro
La llama que me deja vivir
y que necesita la llama de mi corazón
Para poder vivir

me gusto este poeme en español... se los comparto...

Poemas en frances....special para una shikilla que estudia franchute

bueno es la primera ves que escribo en el blog desde que me suscribi y creo que es bueno pasar a inaugurarlo con poesia francesa que me encanta....

empecemos:

Tu est mon ame soeur
Tu est mon ame soeur

Sans toi je pleure

Sans toi j'ai peur

Sans toi je meurs

Sans toi j'ai mal au coeur

Je t'attendrais jusqu'à ma dernière heure

Jusqu'à ce qu'on cueille de ma vie toutes les fleurs

Je t'attendrais malheur

Car je suis lié à toi à tout jamais, tu est mon ame soeur...


espero y lo disfruten